Double cheval doré de mon enfance, je te conduis comme un pharaon
Enfin Rahan commun ne conduis pas, chance est que l'île de Ré soit en double aval
Mais à même le sol j'ai mordu la poussière qui m'a permis de faire le ciment ensanglanté de ma chaumière
Chaude mer m'avertissant merci que les si du là sont partis
Je me lave volontiers en toi car c'est salé sale sali si là que je fais pendre de longues lignes attachées à mes côtes, merci
Mais si, mais si, Messi, tu sais qu'il s'est avéré que le chaud soleil ne reviendra pas car c'est pas l'été c'est l'était
Certes j'ai passé tout juin à septembre à considérer un passé à venir à replier les places sur elles mêmes, neuf coins au centre
Venir, rester, éternuer, à tes souhaits, meurs, couleur
Cartes entre mes doigts je ne saurais vous retourner maintenant, atouts place du mort, pièges et détours dans les passages gris
Dolly Prane s'est perdue, sa poitrine s'est pendue et la flèche tirée de son arc n'atteint plus (personne)
Alors dans sa tête de pensine-boule à thé (personne) n'y laisse ses feuilles, l'encre me rappelle la terre le sang le vin
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