mercredi

Think Jacobin

et mes doigts dans ta chatte, est-ce qu'ils touchent quelque chose
ou tu en restes insensible, impassive, laisse-le dans le placard
absorbe l'alcool l'alcool tout cet alcool
tu as de la colle dans le nez, mais c'est jamais assez, tu rêves de moi
dans la mort, là où tu te sens bien, là où sont jetés les chiens
on ne saura jamais, on ne saura jamais, répète-moi jamais,
plus jamais tu répondras que tu ne sais pas car bébé je suis là
je suis là pour toi, pour te manger les bras, te laisser en friches
m'en faire un apparat de ta fierté de rat de ta gueule de vieux gars
à qui tu sers à vouloir serrer dans cette serres d'oiseaux fatigués
les oiseaux ne se regardent pas les oiseaux vont chez le voisin
où y'a du bon vin on y compte jusqu'à vingt un jour on arrivera à cent
un jour on fera sans
ce jour est éclairé des espoirs individuels de gens qui peuvent penser
des gens qui peuvent utiliser des verbes correctement, pour commander à manger
ils ne sont jamais rassasiés à parler de ce qu'ils vont dîner
toi toi toi tu ne dis rien
tu n'as pas faim
donne-m'en vingt

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